Ce que l’on nous raconte à l’école sur nos origines, depuis qu’elle existe, c’est à dire depuis Charlemagne, ne semble pas vraiment être la vérité. Que nous aillons été créés par un dieu père tout puissant, ou que nous tirions notre origine d’une évolution linéaire de plusieurs millions d’années, tout nous laisse à croire que ces écoles, qu’elles soient chrétiennes ou républicaines, aient toutes étés influencées par des institutions étatiques organisées, cherchant le pouvoir et le contrôle sur les masses avant tout.

Dans la version judéo-chrétienne, nous aurions chuté du paradis par notre faute, parce que nous nous serions laissé tenté par l’arbre de la connaissance, le Serpent nous a tenté et a eu raison de nous. Mais qu’elles étaient ces symboles avant ce mythe d’Adam et Eve ?

L’arbre sacré se trouve dans toutes les mythologies anciennes du monde, il a toujours une connotation positive, il est symbole de prospérité et d’un passé relatif à l’âge d’or de l’humanité.

Âge d’or ou paradis merveilleux ?

On quitte le merveilleux imaginaire chrétien pour se retrouver les pieds bien sur terre, mais à une époque où les paramètres cosmiques et terrestres étaient différents de ceux de notre ère. Il fût un temps où la terre fût beaucoup plus hospitalière car la nature et le climat y étaient si fructueux que nous vivions simplement de cueillettes. L’homme n’avait pas de souci à se faire pour le lendemain, il n’y avait pas d’hiver glacé, même en zone polaire ! Au contraire même, de par sa position tangentielle par rapport aux rayons du soleil, l’Arctique était l’endroit le plus fertile de la planète, un véritable paradis bien réel ! Dans les mythologies n’ayant pas trop subies le caviardage Judéo-Christiano-Romain, on retrouve des tas d’éléments qui démontrent que nos ancêtres vivaient très, très au Nord du monde !

L’endroit paradisiaque de l’âge d’or a bien existé sur un continent Polaire tempéré nommé « terre du sanglier », qui donna son nom aux constellations la surplombant, elles furent ensuite re baptisées constellations de la petite et de la grande Ourse. Pourquoi ? Justement pour signifier la glaciation de cette ancien paradis (l’Ours survie en zone glacière, pas le sanglier), et pour ne pas oublier ce cataclysme ! En effet les anciens sages, connaissant la propension de certains humains à mentir pour contrôler les masses, ont laissé nombre d’indices comme celui-ci.

 

De la lignée héroïque, au pêché originelle

Tyr « l’homme-ours » mène les fils de Bor dans le désert de glace, nombreux seront les hommes à sacrifier leur ration et même leur vie pour permettre la survie d’une minorité d’entres eux. De ce courage, de ce sens du sacrifice, naîtront les tribus Indo-européennes qui subsisteront jusqu’à l’empire Romain. Ce mythe fondateur de l’esprit Celto-Nordique exalte l’honneur, le respect des ancêtres, le sens du sacrifice bien compris et le courage comme étant des vertus les plus hautes. Ces tribus d’hommes libres vont longtemps résister -notamment grâce au souvenir de leur héroïque origine- à l’empire Romain, investigateur du capitalisme en Occident. De nombreux éléments archéologiques, étymologiques, calendaires, mythologiques, hermétiques et traditionnels démontrent ces faits, voir cette vidéo documentaire rassemblant ces preuves : https://www.youtube.com/watch?v=7Ayg-bhbIbQ

La mémoire flashouillée par des MIB en calotte ?

Ce qu’il nous reste d’écrits concernant la tradition de nos anciens se trouve au mieux fragmenté, crypté dans la mythologie Celto-Nordique qui a subie ce qu’ils appellent une « christianisation » terme rabaissant pour le Christ car il semblerait plutôt que ce fût un « flashouillage » de la mémoire de millions d’européens. Les mythes Celto-nordiques originaux valorisent les ancêtres par le fait qu’ils ont survécu à une glaciation terrible et soudaine, or aucune trace de ceci (ou alors de façon cryptée) dans l’Edda de Snorri, la mythologie Nordique officielle. Seul quelques mythes de la tradition orale nous content leurs exploits : Le mythe de Tyr dans le désert de glace : https://www.pagans.eu/lorientation-dans-les-plaines-sans-soleil

Des traditions comme Noël ou Samhaïn(Halloween en est une déformation) ne prennent leur véritable sens qu’à la lumière des origines Polaires. L’arbre de noël n’est autre que le fameux Yggdrasil de la mythologie Nordique, représentant l’axe du monde, c’est à dire l’axe de rotation de la terre autant que le vortex énergétique autour duquel s’entoure le champs magnétique terrestre qui nous porte en créant la gravité. Ce champs magnétique terrestre, c’est le dragon, curieusement diabolisé dans la culture chrétienne. Vidéo sur le vrai sens de noël :https://www.youtube.com/watch?v=3s3gXnbITM8

 

Ésotérisme celto-bouddhiste ?

L’éveil des chakkras, connu dans les traditions asiatiques, fit également parti de la tradition européenne, cependant l’énergie Kundalini remontant le long de la colonne et s’enroulant comme un serpent, était effectivement appelé « serpent » chez les Celtes, la diabolisation de celui-ci comme étant un tentateur, explique métaphoriquement l’interdiction et l’éradication de ces connaissances ésotériques en Europe.

Décryptage :

Pour vaincre les tribus Celto-Germaniques, il fallait les couper de leurs racines héroïques Hyperboréennes, leur faire oublier le sens de l’honneur et du courage qui était intimement lié à leur origine et au dieu Tyr.

C’est pourquoi la religion judéo-chrétienne fût créée :

-pour substituer un paradis céleste à la terre du sanglier 

-pour substituer un pêché originel ayant provoqué la colère de dieu à un cataclysme cyclique parfaitement naturel

-pour substituer un Dieu créateur à la lignée des héroïques fils de Bor

-pour diaboliser le serpent et l’arbre, pourtant symboles universels de connaissance et de sagesse

-pour substituer la charité, l’humilité coupable et la croyance à l’honneur, au courage, et à la connaissance

-pour remplacer la tradition orale ancestrale transmise de père en fils, par une religion transmise par l’état Romain tout puissant lui-même.

Si l’Ours et le Sanglier furent « révérés» chez les Celto-Viking, ce fût en mémoire du cataclysme et des grands ancêtres originaires de ces territoires Nordiques y aillant survécu. Ils avaient conscience qu’un peuple qui oubli son origine, ses racines, est un peuple mort spirituellement qui finira par être asservi.

Et en effet, les tribus vont se décomposer et être assimilées à l’empire Romain, qui en fera des familles de Serfs livrées à elle-même, n’ayant plus la protection de la tribu. Encore aujourd’hui « nous héritons » de l’organisation étatique Romaine.

Le Dieu tout puissant, n’est en fait que l’avatar de l’état tout puissant ou empire. Et en effet nous ne sommes plus vraiment les fils de nos parents : nous sommes élevés par l’état, nous appartenons à l’état, nous n’appartenons plus à nos familles, nous sommes les enfants « de dieu » ou de la république, car la tradition a été remplacée par la religion, la connaissance par la croyance.

Une amnésie collective qui perdure dangereusement

Bien que le dogme du dieu tout puissant ait été révoqué, nous n’avons toujours pas retrouvé nos véritables racines, et le pire est que nous sommes toujours ignorants de la plus importante des choses, autrefois décrite comme « le jugement dernier » ou « la fin des temps » ou encore ragnarök, ces élucubrations religieuses n’étaient en réalité que la description de phénomènes parfaitement naturels et plus ou moins prévisibles. L’existence de ces cataclysmes qui détruisent toute civilisation cycliquement n’effleurent toujours pas la conscience humaine à l’heure ou de nombreux signes montrent pourtant que nous nous en approchons.

Laissons conclure Platon (Timée -360av. J-C) 

La banalisation de l’écriture et la constitution de l’état sont des marqueurs de la perte de mémoire d’après l’illustre Philosophe :

« Vous les grecs vous êtes jeunes par les âmes car vous ne possédez aucune antique tradition, aucune connaissance blanchie par le temps, en voici la raison. Mille destructions d’hommes ont eu lieu de mille manières, et auront lieu, les plus grandes par le feu et l’eau, les moindres par une infinité de causes.

Chez vous et les autres peuples, à peine l’usage des lettres ou de toutes les choses nécessaires aux états est-il institué, voici que, à de certains intervalles, pareilles à un fléau, des pluies torrentielles viennent fondre sur vous, qui ne laissent survivre que les hommes illettrés et étrangers aux muses ; »

 

Vidéo sur l’origine des cataclysmes :https://www.youtube.com/watch?v=qMm1Yx1d8so

 

                                                                                                       Oleg de Normandie

 

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